
J’aurais voulu te dire
En une notification bienveillante
Combien je me sentais bien
Tes mots et ta pensée
M’accompagnaient avec affection.
Maintenant j’avance
Parfois prostré, léthargique
Parfois à grandes et rapides enjambées
Essayant de ne pas chercher
Un pourquoi ou un pour quoi.
Ça me semblait avoir autant de sens
Que de remonter chaque jour une pendule.
Par un beau jour le vide total m’attend
Dans mon isolement je me suis préparé
A la fin du tourbillon.
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